Préz des intervenants

Au Maroc, à l’instar des pays en voie de développement, l’évolution du contexte socio économique a permis d’améliorer le niveau ainsi que les conditions de vie de différentes franges de la population. Cette évolution a favorisé l’émergence de nouveaux modes de production mais aussi de consommation et par conséquent une augmentation importante des déchets. Quel est le cadre légal et institutionnel qui gère le secteur des déchets au Maroc ? Quel est l'état des lieux et quelles sont les perspectives d'évolution du secteur ? Cette présentation a fait l'objet d'un déjeuner BtoB organisé le 16 mars au siège de la CFCIM à Casablanca.

Après un état des lieux sur les défaillances d’entreprises au Maroc et leurs principales causes, ce  petit-déjeuner sera l’occasion d’appréhender les solutions et les bonnes pratiques à mettre en œuvre pour les éviter.

La liberté d’expression des salariés sur le Net et en particulier sur les réseaux sociaux pose de nouvelles questions de droit dans l’entreprise : existe-t-il des règles légales particulières en matière d’utilisation des réseaux sociaux ? La publication de contenus concernant l’entreprise par un salarié est-elle soumise à des règles juridiques ? Comment concilier le droit d'expression du salarié et son devoir de loyauté envers l’entreprise ? Ce petit-déjeuner d’information sera l’occasion d’apporter des éléments de réponse à ces questions tant du point de vue juridique qu’au regard des bonnes pratiques et des mesures de prévention qui peuvent être mises en place au sein des entreprises.

Ce petit-déjeuner sera l’occasion d’effectuer un tour d’horizon des moyens mis à la disposition des PME par Maroc PME, la Caisse Centrale de Garantie et Finéa pour faciliter leur accès aux financements, garanties et accompagnements dans le cadre des projets qu’elles souhaitent conduire.

L’aquaculture est devenue, depuis presque deux décennies, le secteur de production vivrière ayant la croissance la plus rapide au monde et a dépassé la pêche comme source de produits halieutiques. La production aquacole mondiale a atteint un pic historique en 2013, avec 97,2 millions de tonnes, d’une valeur totale supérieure à 157 milliards de $ (FAO). Le Royaume du Maroc qui dispose d’un littoral de 3 500 km, dont 500 km sur la Méditerranée et 3 000 km sur la façade Atlantique, accorde une grande importance au secteur halieutique qui contribue à hauteur de 2,5 % à son PIB. Le secteur halieutique marocain est aujourd’hui essentiellement dominé par l’activité de pêche. Celle-ci assure une production annuelle d’environ 1,35 million de tonnes par an, dont résulte 9,6 milliards de Dhs en termes de chiffre d’affaires au titre de l’année 2014 (DPM). Pour sa part, l’aquaculture, étant au stade embryonnaire avec seulement une production de 468 tonnes, reste insignifiante en termes de volume de production. Partant de la nouvelle stratégie de développement du secteur des pêches maritimes (Halieutis), l’Agence Nationale pour le Développement de l’Aquaculture a été créée en 2011 pour donner justement un nouvel élan au développement  aquacole.  Pour ce faire, elle a ainsi réalisé des études de plans d’aménagement sur tout le littoral marocain, élaboré et proposé un cadre juridique spécifique à l’aquaculture, sans oublier pour autant ses démarches de promotion des investissements auprès d’opérateurs et professionnels du secteur aquacole. En novembre 2015, un  premier plan d’aménagement aquacole de la région de Dakhla-Oued Eddahab a été lancé dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt. Ce plan constitue aujourd’hui une opportunité inédite qui permettra de faire proliférer des investissements aquacoles durables et économiquement viables, et créera du business et de la richesse.