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Le développement des énergies renouvelables s’inscrit au cœur de la politique énergétique du Maroc, qui vise à porter à 52 % la participation des énergies vertes dans la puissance électrique totale installée, et ce à l’horizon 2030.

Parallèlement à cela, l’efficacité énergétique constitue également une priorité dans la stratégie énergétique du Royaume : l’ambition est d’économiser 12 % de la consommation d’énergie en 2020 et 15 % en 2030. Dans cette perspective, des plans d’actions d’efficacité énergétique ont été mis en place dans tous les secteurs clés, en particulier les transports, l’industrie et le bâtiment.

L’IRESEN (l’Institut de Recherche en Énergie Solaire et Énergies Nouvelles) se positionne dans le domaine de la Recherche & Développement, offrant ainsi plusieurs opportunités pour la création de synergies entre le monde socio-économique et le monde scientifique.

Comment les industriels peuvent-ils gagner en compétitivité en intégrant les énergies renouvelables ? Quel cadre réglementaire et quels outils ?

Lors du déjeuner Networking du 1er février, la présentation faite par l'IRESEN a pu apporter de nombreuses réponses à ces questions.

Le développement des énergies renouvelables s’inscrit au cœur de la politique énergétique du Maroc, qui vise à porter à 52 % la participation des énergies vertes dans la puissance électrique totale installée, et ce à l’horizon 2030.

Parallèlement à cela, l’efficacité énergétique constitue également une priorité dans la stratégie énergétique du Royaume : l’ambition est d’économiser 12 % de la consommation d’énergie en 2020 et 15 % en 2030. Dans cette perspective, des plans d’actions d’efficacité énergétique ont été mis en place dans tous les secteurs clés, en particulier les transports, l’industrie et le bâtiment.

Comment les industriels peuvent-ils gagner en compétitivité en intégrant les énergies renouvelables ? Quel cadre réglementaire et quels outils ?

Lors du déjeuner Networking du 1er février, la présentation faite par Quadran Maroc a pu apporter de nombreuses réponses à ces questions.

Dans un climat des affaires animé par la COP22 et face aux objectifs de Développement Durable poursuivis par l’ONU pour l’horizon 2030, il est utile de mettre à niveau les perceptions du concept de la Responsabilité Sociétale des Entreprises qui porte ces ambitions de Développement Durable. Il est aussi indiqué de partager les expériences des entreprises ayant basé leur business model sur l’ouverture, via l’externalisation, à leurs écosystèmes. L’expérience de la Société Nationale des Autoroutes du Maroc, notamment en matière de construction des autoroutes, révèle un retour d’expérience intéressant en matière de développement du secteur du bâtiment et des travaux publics au Maroc, en offrant aux PME/PMI marocaines dans ce domaine des opportunités de partenariat, d’acquisition de savoir-faire et de développement de leurs métiers. Aujourd’hui, certaines de ces PME/PMI ont pu développer une capacité stratégique qui leur permet d’exporter leurs savoir-faire en Afrique. L’exemple de la Société Nationale des Autoroutes du Maroc peut être étendu aux organisations chargées des métiers d’infrastructures de transport. Une récente recherche doctorale basée sur l’étude de l’externalisation au sein de ces organisations a mis en évidence l’apport de l’ouverture et la contestation du marché pour gagner en innovation et soutenir le Développement Durable. Ce petit-déjeuner d’information aura pour objectif de présenter la RSE comme soubassement du Développement Durable, de faire un repérage par rapport au cas de la Société Nationale des Autoroutes du Maroc (ayant le label RSE) et d’échanger sur les enseignements d’une recherche doctorale portant sur l’externalisation comme levier d’innovation et de Développement Durable.

Parmi le cycle d’évènements professionnels lancés par la CFCIM dans la perspective de la COP22 qui se déroulera en 2016 au Maroc, les déjeuners networking proposent des thématiques directement liées à l’environnement et au développement durable. Le déjeuner du 27 avril 2016 à la CFCIM était l'occasion de traiter-entre autres- les points suivants:

• L’ importance du secteur industriel, les défis et opportunités,
• Les potentiels d’économies d’énergie,
• L'efficacité énergétique : Le concept, comment le mettre en place, qui, où et quand ?,
• L'efficacité énergétique dans l’entreprise industrielle: Pourquoi et Comment ?,
• Les conditions de réussite,
• Les objectifs de l’audit énergétique et son déroulement, pilotage et pérennisation.

Tous ces points sont repris dans cette présentation à télécharger.

Ce petit-déjeuner d’information sera l’occasion de répondre aux questions suivantes : 

• Quels enjeux pour la planète à la lumière des COP21 et COP22 ?
• Quelles nécessités pour les industriels de réduire leurs émissions ?
• Comment connaître les impacts de ces émissions sur les populations ?

Comment limiter leurs conséquences ?

Au Maroc, à l’instar des pays en voie de développement, l’évolution du contexte socio économique a permis d’améliorer le niveau ainsi que les conditions de vie de différentes franges de la population. Cette évolution a favorisé l’émergence de nouveaux modes de production mais aussi de consommation et par conséquent une augmentation importante des déchets. Quel est le cadre légal et institutionnel qui gère le secteur des déchets au Maroc ? Quel est l'état des lieux et quelles sont les perspectives d'évolution du secteur ? Cette présentation a fait l'objet d'un déjeuner BtoB organisé le 16 mars au siège de la CFCIM à Casablanca.

Au-delà des procédures et de la multiplication des règles, l’appropriation d’une culture de la sécurité repose souvent sur la responsabilité individuelle combinée à un dialogue permanent entre tous les acteurs de l’entreprise. La sécurité se doit donc d’être managée si l’on souhaite que les comportements perdurent et aient un impact positif et efficace pour l’organisation. Ce petit-déjeuner d’information sera l’occasion d’identifier les leviers à mettre en œuvre pour diffuser, développer et rendre pérenne une culture de la sécurité dans l’entreprise.

L’adoption du nouveau code du travail en 2004 et la réactivation de plusieurs textes relatifs aux activités classées a refondé le dispositif législatif de la prévention des risques professionnels et des risques industriels. Ainsi, la priorité de l’action des entreprises et des organismes de prévention repose sur les piliers de la maîtrise du risque :

• Réduction du risque à la source,
• Maîtrise de la gestion des opérations comprenant l’utilisation de produits, d’équipements ou d’activités à risques,
• Renforcement des mesures de contrôle et des procédures d’autorisation des nouveaux établissements classés,
• Mise en place de plans d’urgence,
• Développement d’une culture du risque chez l’ensemble des acteurs.

Ce petit-déjeuner d’information sera l’occasion de dresser un panorama global de la prévention des risques dans l’entreprise et d’identifier les actions prioritaires à engager.